Un vif rêve
Nous étions dans l’ombre de la chaleur d’août, légèrement séparés. Tu fixais à la ligne d’arbres, et il y avait quelque chose éclatant qui tremblait derrière eux, peut-être la source de la chaleur elle-même. Derrière nous, une voie ferrée s’étendait en ligne droite à traverse le paysage plat, miles et des miles d’herbe brune et raide en toutes directions. Il n’y avait rien autour de nous.
Tu attendais quelque chose au-delà des troncs d’arbres, et je te regardais pendant que tu regardais la lumière derrière eux. Alors que tu faisais les cent pas, d’ici à là, de temps en temps tu regardais par dessus ton épaule à la voie ferrée. Tu portais un chapeau à larges bords avec un cordon, qui protégeais le dos de ton cou du soleil. Le soleil qui tapait du ciel, blanc et sans couleur dans la chaleur.
Tu avançais vers moi. Tu te penchait la tête dans la mienne et nos doigts frôlé l’un l’autre. Nous avons lacées les doigts, en respirant si profondément que nous avons fermé les yeux. Tu as caressé ma paume ouverte avec trois doigts. Je me sentais les durillons sur le bout de tes doigts pendant qu’ils glissaient sur les os de mon poignet.
J’ai traîné un doigt le long de ton avant-bras et c’était comme l’éclairage lente d’un match. Tu as pris ma main dans la tienne et tu as apporté mes jointures à la point de ton nez. Je me sentais une paix au-delà de tout que je m’en avais senti avant. Je me sentais plus proche à toi que je ne m’avais jamais senti avec une personne dans ma vie. Je savais que nous ne pouvions pas rester dans ce place. Mais je posais ma tête sur ton épaule, et nos mains ont tombées doucement entre nous, relié délicatement.
La ligne d’arbres était encore devant nous, la voie ferrée derrière nous, et je savais que tu ne pouvais pas exister avec moi totalement, en ce moment-là, jusque la lumière au-delà les troncs avait été révélé à toi. Ou jusqu’à un train est venu et nous emportés loin d’ici. Mais j’étais contente d’être ici, avec toi, tout de même. Et tu penchait ta tête vers la mienne, en passant tes lèvres sur mes cheveux pendant que ma tête est tombée dans la creux de ton cou. Je pressais l’oreille à ton clavicule.
Je courrais mon nez le long de ton mâchoire, quand j’ai reconnu qu’il y avait des miles et des miles entre nous qui nous empêchait de véritablement se tenir les mains. Nous n’étions pas à coté de l’autre sur un coté de la voie ferrée, mais sur des cotés opposés de la voie ferrée, en attendant un train de nous connecter. Et les arbres ne poussaient pas devant nous, mais entre nous. Nous étions sur des cotés opposés d’un forêt immense, en essayant désespérément de capturer la lumière papillotant de la coté opposée.